samedi 22 août 2009

parfum de tendresse,

huile,realisée en 2001 ,je ne m'appelé pas encore "Esquisse"
Je ne trahirai pas leur age
Mais dans cette piece,comme dans un miroir
Le reflet des histoires autant que d'images
Ne pourraient s'enfermer,dans une seule armoire...
Le feu depuis logtemps est devenu bien sage,
Meme si les buches craquent encore sous les flammes,
Les pierres en connaissent par coeur leur langage...
Paroles de Jadis,bien accrochées a chaque ame
C'est dans ces instants que peut renaitre le charme.
Parfum de violettes et de café passé
Le temps est obsolette quand on aime penser,
Des mouvements de tetes et des sourires semés
Dans le silence completent ces souvenirs rangés.
Les yeux brillants de leurs tendres années
Magnifestent encore ce besoin de croire...
Que les rides estompent sous leurs tristes tracés
L'apparence fanée de jeunesse illusoire
Chacun sait mais promet de rien dire,
Que dans un temps compté,ils toucheront le quai,
Une autre destination,dans un autre navire
Oublier son trajet et tout recommencer.
A nos aieuls,et tous ceux que l'on appelle Mamé et Papé,ceux qui font ou qui ont fait de nos journées des immenses gouter,des moments de douceurs et tendresses acidulées,ou leurs presences et leurs souvenirs resteront pour les années a venir ,des jardins privées ou les fleurs chaque instant sont choyées,et leurs parfums dans nos coeurs impreignés....
tendres pensées
Esquisse

dimanche 16 août 2009

Ames et s'yeux


Languages muets et certains en sourdines,
Ce n'est pas dans leurs couleurs que les mots se dessinent.
Petites etincelles qui animent la pupille
C'est surtout dans le regard que la verité brille.
Sans age,leur pouvoir ne trahi personne
Gamin de rue ou nommade du temps
C'est dans leurs yeux que la vie nous donne
Une autre vision d'etre bien vivant...
Ridés,bridés,ouverts ou sombres
Par les images brulés des memoires d'hombres
Ils s'innondent en douleur dans l'espoir d'effacer
Ces moments de pénombres et leurs tristes clartés...
Jamais oser a l'aide d'un bandeau
Enfermer un regard derriere les barreaux
Couper l'approche qui unit l'essentiel,
D'un tendre sourire sans mots superficiels...
Et c'est pour ça que tout les soirs
La confiance grandit,nourrit par tant d'espoir
D'accepter l'image que renvoit la glace
Celle qui a mes yeux,de toutes ranceurs effacent...
On n'a pas tous ce pouvoir de capter la lumiere
D'habiller d'images son livre,et son histoire...
Alors gardez dans les yeux cette vision sincere
Que la vue c'est la vie,pour ceux qui errent dans le noir.
Avant que de fatigue,mon regard ne se plisse,
je vous souhaite une douce soirée bien lisse...
Esquisse